Défendre le droit des employeurs à domicile
La Fédération des particuliers employeurs (FEPEM) défend les droits de ceux qui sont en situation de dépendance : comment éviter toute discrimination et favoriser la bientraitance ? Marie Béatrice Levaux, présidente de cette fédération, s’explique. Extrait vidéo d’une conférence du salon des Seniors 2013 à Paris.
La garde des enfants n’est pas le parent pauvre de la République
La FEPEM souhaite attirer l’attention sur le fait que aujourd’hui 1,1 million de familles, chiffre à comparer avec celui des 1,3 million de familles touchées par la baisse du plafond du quotient familial annoncée hier matin par le gouvernement, relèvent du statut de parent employeur d’un assistant maternel ou d’une garde d’enfant à domicile, et sont donc directement concernées par le coût de l’emploi déclaré dans ce secteur d’activité.
La société civile fabrique ses propres modèles : entretien avec Yves Mamou, rédacteur du site Agevillage.com
L’emploi entre particuliers est un modèle singulier d’organisation de la société civile pour répondre à ses besoins de vie. Employeurs et salariés représentent plus de 5 millions de personnes. Ils définissent ensemble les cadres pour les services à domicile que les premiers demandent et les seconds réalisent.
La prestation d’accueil du jeune enfant (PAJE) n’est ni de gauche, ni de droite !
Elle est au cœur de la vie quotidienne des jeunes parents actifs qui ont encore un emploi et dont le salaire moyen mensuel est autour de 2 200/2 500 € mensuels.
Ces revenus atteignent, pour un couple bi-actif, le plafond de revenus annoncé pour la suppression du complément de mode de garde ! 53.000€ par an serait considéré comme un revenu aisé ??? 1,1 million de parents employeurs de près de 450 000 professionnelles assistantes maternelles et garde d’enfant vont se reconnaître !